Après le boulot, les excuses d'un lourdeau [PV Peach/Bowser/Aya]

La journée de travail était enfin finit. Moi et Momiji, une collègue de travaille, avions décider d'aller chez Taper histoire de s'enfiler quelques petits vers et de bien déconner entre pote. Enfin c'ets ce qui était prévus. Comme dh'baitude je me baladais avec mon appareil photo, un bras sur l'épaule de ma collègue en riant et souriant, et comme d'habitude, elle, elles se balladais avec son sabre et son bouclier de badass. Bref... Nous formuons un joli p'tit duo de vilaine petite chipie qui ont prévue de se défoncer la gueule à coup de saké.

Bref, j'aurais put profiter de cette soiré qu'elle m'avait si gentille proposer si le devoir ne m'appelait pas encore... Hélas.... Alors que je sortais en sa compagnie de notre borne d'aracde, rejoingniant la gare centrale, je vis au loin la princesse Peach qui allait dans la même direction ou nous avions prévus d'aller, et derrière elle, Bowser. Les deux vétérans allaient-ils parler entre eux ? Si c'était le cas je ne pouvait pas louper ça !! Alors que nous sembions ne pas être fait remarquer Momiji et moi, je me disais que la princesse allait surement nous voir venir. Bizzarement il n'y avait pas foule.

Mais j'étais toute émoustiller, je voyais bien là l'occasion de publier un article fort intéressant, et l'occasion était tout juste sous mon nez. Mais... j'avais promit à ma collègues qu'on se bourrait la gueule comme pas permis ce soir et que je ne ferrait rien en rapport à mon travaille. Mais c'était affreux, j''avais tellement envie de me meler de cette histoire ! C'était pire qu'une envie de pisser pour moi !

Je regardait alors Momiji, puis la scène au loin, puis de nouveau Momiji. Arg ! C'était affreux ce sentiment de faire de la peine sois à moi, ou sois à une amie. Finalement, je trancha à ma manière? Rapide comme l'éclair, je retourna dans la borne d'arcade de mon jeu, et revenus avec une jatrre de Saké que j'avais demander à Suika Ibuki, la plus grosse alcolo que je connaisse au monde, et la plus cool des alcoolo aussi, elle donnait du saké à tout le monde gratis, ce qui était moins chiant que d'aller se payer un ver au bar.

-Hey ! Momiji, ça te dit qu'on fasse les paillarades juste, ici !

Je m'envola, et posa la jarre sur le rebord de la porte de la borne de Taper . D'ici on avait uen jolie vue, on faisait pas trop tache dans le décor, et pit on avait possibilité de bien entendre. J'étais assez sûre de mon coup, car la princesse peahc m'avait jamais vue, et je ne diffusait jamais des photo de moi dans mon journal. Momiji quad à elle me regarda presque étonner et sans rien comprendre. Personnelement je m'en fichais, la prit par un bras et m'envola avec elle et me posa avec elle sur le bord de la porte de la borne. Bref, nous nous préparions des vers de Saké, buvons, rigolons, et bien sure, moi je faisait gaffe à ce que je buvait pour ne rien louper de ce qui allait se passer. Momiji de son côté semblait se donner à coeur joie.

(PS : Momiji = la fille en arrière plan dans ma signa)

Et bien... Je ne pouvais jamais être tranquille un seul instant !
Voilà que ce misérable me courait après. Je m'étais retournée vers lui avec un regard à glacé un iceberg.
Ce monstre à pointe me tendit une boite, je pensais qu'elle contenait des pixels...
A la place de cela j'y découvris un jolie service à thé au complet.
Et il en profita pour s'excuser pour "ma fête".

Bon il ne semblait y avoir personne pour m'entendre, mais il était hors de question qu'il m'achète ainsi.
Je voulais être sûre de lui faire regretter ses actes pour qu'il ne recommence pas de si tôt...

"_Et bien soit.
Merci pour ce service à thé.
Dis-je froidement
Mais je tiens ce que tu saches que j'ai été choqué de ton comportement. Et surtout outré par celui de tes amies. Comment as tu pu leur laisser me dire de telles horreurs devant tant de monde ? Surtout celle aux cheveux bleus ! Elle m'a fait passé pour un monstre sans cœur devant un nombre improbable de personnes. Alors que "ma fête" comme tu dis t'était dédiée, je pensais te faire plaisir en organisant un évènement en ton honneur.
Je n'hésitais pas à en rajouter en perlant mes yeux de larmes.

Je regardait la scène de loin, le plus attentivement possible. La problême était cependant que Momiji ne cessait de parler et de raconter des conneries et des ragots comme quoi Cirno avait battue Marisa, chose que dont j'étais déjà informer. Je me demandait quant est ce qu'elle fermerait ça gueule pour que j'etendent ce que se racontait les deux vétérans. Les yeux river sur mon appareil photo, je pris quelque photo, ne pouvant rien écrire sur le bloc note étant donner que j'entendait presque rien. Momiji, qui elle se bourrait la gueule continuait de m'emmerder. Finalement je craqua et gueula à mon amie.

-MAIS TU VA FERMER TA GUEULE OUI !?

Bon ok il avait l'air vraiment désolé...
Certes son comportement ne fût pas le bon, mais je voulais bien lui laisser le bénéfice du doute au sujet de la femme en bleu avec son comportement exécrable.
Et puis ce lourdaud pourrait toujours être utile... Au fond il est plus bête que méchant.

_Bowser, j'accepte tes exc...

Soudain un hurlement se fît entendre. C'était une femme en hauteur qui tenait dans ses mains... UN APPAREIL PHOTO ?!
Ouh le misérable avait engagé une petite peste pour redorer son image !! Ils allaient donc eux aussi créer un journal ! Alors que toute l'arcade est au courant que c'était mon idée avec MA confrérie !! Ce monstre de flamme était plus sournois qu'il en avait l'air !!!

Oh espèce de... de... RAT OBESE CRACHEUR DE FEU !!! Je te déteste ! Tes excuses ne sont qu'un leurre ! Tu te fiches pas mal de m'avoir fait ou non de la peine ! Tu ne veux que couvrir ta réputation de peau neuve avec cette peste qui fournirait des preuves en images à l'appui ! JE TE HAIS !!!!

J'étais plus rouge que la salopette du gros plombier et c'est après avoir collé une gifle monumentale que je tournai les talons à ce sale monstre pour retourner en direction du bar.

Au moment où je pensais franchir le pas vers la borne qui mène chez Tapper, le roi koopa m'attrapa par le bras pour me gifler je lui lançai alors un regard remplit de surprise, choquée par ce geste de sa part.
C'est alors qu'il m'en colla une deuxième, serrant toujours mon bras droit entre ses pattes.
Je poussai donc un cri strident mêlant rage, douleur et impuissance.
Les yeux remplis de larmes et la colère à son paroxysme je lançai donc son service à thé à la figure pour me libérer le bras personne n'intervenant pour m'aider en ce moment.

_Espèce de... de psychopathe !

Je le frappait donc avec mon parasol sur sa tête que je ne pouvais plus voir en peinture !

Je regarda Momiji, perdre l'équilibre, totalement bourrer et se cracher la gueule contre le sol. Heureusement elle ne creva pas, mais elle était bien sonner comme même; je soupira, soudainement des crsi et des hurlement se fire entendre. Je retourna posa mon regard sur les deux vétérans qui s'étaient remit à se creper le chignon. Tout ça car je m'étais faite repérer à cause des connerie de Momiji. Résulat des course je me prenais des insultes gratuitement d'après ce que j'entendais. Je regarda les deux grandes gueules d'un air blaser, me demandant si deux articles parlant d'eux et de la m^me chose vaut le coup dans un journal. Il ne savent que se gueuler dessus visiblement. Personnelement, je m'ne fichais bien, je croisa les jambes et prit des notes. Je me premettaient aussi de faire quelque coucou de la main quand l'un deux posait son regard sur moi.

Bah quoi ? Je les observe, c'est normal ! Je suis reporter, et fiere de l'etre ! Je mardilla un moment le bout de on crayon, tenant de me rappelez avec exactitude des paroles, une fois celle-ci raffraichie dans ma mémoire, j'écrivis le tout dans mon calpin. Je jeta finalement un coup d'oeil sous mes pieds, m'appretant à demander à Momiji si elle avait rien de casser. Mais à ma grande surprise, elle n'était plus là, je la vit alors au loin tituber de son air d'idiote vers les deux véterans. Se placer juste entre les deux et.... réclamer des autographes. Je contemplait la scène sans agire, et me remit à écrire dans mon bloc note. Un peu de pimant ne pouvait que mieux passer dans l'article après tut, et puis... je ne suis pas responsable d'elle dans un sens, même si c'était moi qui avait fournie le saké.

En tout cas, ce qui devait arriver arriva, ma pauvre amie totalement saoul se prit un coup alors que les deux veterans commençait à peine de se fraquasser la gueule. Je songea qu'il faudra que je l'intéroge sur ce que ça fait de recevoir un coup de poing plein de haine dans la gueule, mais qui ne nous est pas destiner. Mais elle commençait à me faire pitier. Je gromelas songeant que j'allais devoir me maler de cette histoire pour la tiré de là avant qu'elle nous fasse un Game Over. Si cela arrivait, autant dire que j'aurais de gros ennuie, étant donner que tout me désignait comme étant responsable d'elle. Mais il faut bien faire des fois argent de sa peau nan ?

Je déployai mes ailes de corbeau, m'envolai et me posai à côté de momiji, et non loin des fou furieux également à mes risques et périls. Je donnai un petit coup de chaussure à Momiji histoire de savoir si elle était vivante. Un gémissement, génial elle est pas morte mais elle sera surement pas en état de se barrer d'elle même de cette merde. Je devrais donc l'aider, et je risque donc de finir dans cette embrouille qui part en queue de poisson, et je risquais également d'avoir le portrait refait. Bon... alors je fais quoi ? Hmmm... la seule chose qu'il y a a faire ? Porter mes couilles et gueuler stop au deux fous furieux pour pas que l'un d'eux tue quelqu'un ? J'aime pas cette idée mais... faut bien le faire...

-FERMEZ LA VOUS ALLEZ FINIR PAR TUER QUELQU'UN !

Ca-y-est, je suis morte...

Une chose était désormais sur et certaine.
Je haïssais plus que tout au monde ce misérable ver de terre obèse et ne souhaitais plus que son malheur et une morte lente et douloureuse pour la honte que me faisait subir toute cette esclandre dû à son égoïsme, sa bêtise et sa violence !

Alors la peste qui nous prenait en photo depuis tout à l'heure s'est rapprochée de nous, elle était entre nous et la foule de sous espèces de personnages secondaires tirés de l'univers de street figther pour jouer le public en délire...

Elle s'était mise à hurler, à coup sûr elle venait aider ce gros lourdaud de Bowser ! Ils voulaient se débarrasser de moi les misérables !

Je donnai donc un coup de talon dans les bijoux de famille de ce gros Bowser, pour réussir à m'extirper de ses griffes qu'il avait sales... Pour ensuite lancer des tas de radis de toutes mes forces sur la sale petite peste et surtout sur son appareil photo pour détruire les images ou le lui faire tomber des mains et le reprendre par la suite.
Et si j'ai beaucoup de chance je tomberai sur une bombe et me débarrasserai à coup sûr de son appareil de malheur !

_Prépare toi à souffrir sale peste !!!

Voilà, j'étais dans la mouise. Les deux vétérans avaient décider de passer leurs colère soudaine et brutale sur moi. Heureusement pour moi, j'avais assister en tant que spectatrice au smah arcade tournament, ou j'avais déjà commencer un début d'article dessus il n'y à pas si longtemps. Je savais donc exactement à quoi m'attendre quand la sois disant "princesse", qui employait un vocabulaire fort déplaisant à mon égard, posa son regard sur moi et fit apparaitre un radi de... sous sa robe... Je ne ferais aucun commentaire là dessus.  Bref, en tant que personnage de la borne d'aracde Touhou, je pouvais presque librement rire de cet attaque ridicule qui me faisait face. J'explivait sans problème les projectiles car après tout, c'était un peu du Danmaku, mais en beaucoup plus simple. Un pas sur la côté à gauche, puis un deuxième à droite, un bond, quelques pirouettes dans les airs, un atterissage parfait et quelque mouvement simples et précis pour esquiver cette pluis de radis. Alors que j'esquivais en toute neutralitée , la pluie de radis cessa enfin. Ceci n'était pas trop tôt, mais je crois bien que j'aurais pas du reposer mes yeux sur mon calpin pour relire mon écriture ridiculement petite, serrer et grifonner pendant que j'esquivais. Oui, fait deux choses en même temps était comme qui dirais un don chez moi. Mais à l'instant ou je releva la tête, je réalisa le vétéran à crinière rouge me saisir brutalement un bras. Il le serra avec force et violence et lâche un cris, lâchant mon stylo se trouvant dans la main de mon bras qu'il venait de saisir. Je sentait plus ma main du tout, ni mon poignet, il serrait tellement fort que bouger mon bras était presque impossible. Je me mis alors à me débattre, restant déterminé à ne pas obéir à sa requete. J'avais aucune envie de ceder mon appareil et ce pour plusieurs raison.

La premier était que, je tenais beaucoup au photo que je venais de prendre pour rédiger mon article. Et la seconde était que cet appareil m'avait couter la peau des fesses auprès de Nitori. Je me souviens exactement que j'avais du cassez ma tirelire pour que Nitori en face un appareil de précision et tout à fait professionel à la pointe de la technologie. Donc non, je ne tenais pas à pêter une seconde fois ma tirelire car un gros batard veux me bouziller mon appareil ! Je me débatais alors, tout en jouant la comdéie au milieux des deux vétérans mais surtout au milieux de la foule qui c'était assemblé tout autour et qui regardait le spectacle. Qu'ils cassaient ma gueule si ils le souhaitaient je garderais mes photos!

De son côté, Momiji avait finier par se réveiller et c'était barrer. Je ne l'avais pas encore remarquer quand j'esquivais la pluie de Radis que m'envoyait madmoiselle rose bonbon, mais je rageais intérieurement quand je remarqua son absence après m'être fait choper le bras. J'en avais marre de ces gens ! Je l'aide et elle, elle me laisse dans cette merde pas possible comme une idiote. Il n'y avait pas à dire j'étais dans la merde et était en trait mauvaise posture. A tout moment je risquais de me prendre un violent coup au visage. Mais d'un côté ça serait devant toute cette foule donc, cela ne ferait que les enfoncés encore plus non ? Ils ne feraient que empirer leurs cas ? Et il ne faudrait presque même pas de photo pour pouvoir être soutenu par des lecteurs si la moitier de l'arcade assistait à l'accident ? Alors était-ce bien la peine de résister face aux vétérans ? Hélas oui, je ne pouvais pas me faire à l'idée qu'on me casse du matérielle coutant extrèmement chère. Je hurlais alors avec souffrance et désespérance devant la foulle.

-LACHE MOI !!! LACHE MOI TOUT DE SUITE ! MON BRAS !! J'AI MAL !!!!!!

Je pouvais parfaitement bien me défendre, mais je refusais de frapper qui que se sois, tout simplement car cela donnerais une image affreusement négative de ma personne. Je ne pouvais pas me permettre de frapper les personnes qui risquait de faire la une de mon journal après tout !

Donne moi... CE FOUTU APPAREIL !!!


VOUS ÊTES TOUTES PAREILLES HEIN ?!? L'important, c'est d'avoir des COCHONNERIES à dire sur le dos des gens HEIN ?! Comme ça, vous pouvez faire votre petit journal rempli de saloperies et bien rigoler avec les copines hein? Eh bien ! Tu pourra dire que le GRAND Bowser t'as tabassé devant tout le monde ! Tout le monde va ADORER !!!


Et toi Peachy? Tu croyais que ta "petite fête" serai inoffensive hein? Toute l'image de moi que j'ai bâti ces quinze dernières années, malgré le fait que j'sois pas super bien dans ma peau, l'image du fier et fort roi Koopa qui s'est effondrée comme un château de carte en une fraction de seconde... J'suis devenue la risée des méchants anonymes... Pire encore... Tout tes petits camarades qui se marrent en me voyant, sans compter toutes ces lettres d'insultes que je reçois, parce que j'ai froissé la précieuse et petite princesse Peach ! Ouais, parce que faire tourner la tête de ces messieurs, c'est facile pour toi hein? Une jolie Princesse aux cheveux d'or et aux yeux océans, qui se fait sans arrêt kidnapper par un monstre immonde comme moi ! C'est si facile pour toi de passer pour une personne douce et gentille... Mais j'ai jamais vu une rose avec autant d'épine !

Je finis par me calmer un peu, j'essuie mes yeux.

T'façon, j'ai toujours été qu'un pauvre minable...

La sécurité commençait à arriver dans tous les sens, les regards désapprobateurs étaient lourds sur moi... Je couru en direction de mon jeu, la sécurité me rattrapera plus tard. Pour l'instant, je voulais réfléchir sur ce que ça faisait d'avoir toute une vie gâchée en quelques instants.

Fin du rp pour moi.

Je restais estomaquée quelques fractions de secondes...

Tout d'abord par la rage qui brillait à travers les yeux de Bowser.
Mais surtout par la souffrance dont ce lourdaud témoignait. Je n'osais pas lui répondre...
Car même si je le déteste de plus en plus le pousser au suicide signerait aussi ma fin.
Je préférais le laisser partir sans piper mot en espérant qu'il ai réduit la jeune fille et son appareil photo en miettes.

Et comme es tas de témoins étaient autour de moi et que la sécurité commençait à pointer le bout de son nez au loin il ne me restait plus qu'à tenter de sauver mon image.
Je m'effondrai alors à genoux sur le sol, mon visage entre les mains en faisant ruisseler mes larmes.

_Je ne comprends pas... Comment toute ma meilleure volonté peut elle engendrer tant de haine ?"

La sécurité enfin sur les lieux m'emmena avec douceur la suivre. Ma personne étant telle une faible créature que la moindre secousse réduirait à l'état de poussière.

Ce qui devait arriver, arriva. Le ciel tombat sur la tête de la jeune fille ailé. Celle du nom de Aya shameimaru se reçut un coup de point titanesque d ela part du vétéran, uen force de frappe jamais vue qu'elle risquait de se souvenir et de surtout regretter amerement. Ce simple coup avait largement suffit à lui faire perdre à moitier connaissance et à lui remettre un peu les idées en plus. Non, ce n'était plus une question de journal ou f'information... c'était uen question de survie face à autant de rage. Le tengu ne jouait plus la comédie, cette fois elle souffrait véritabelement. Poussant un gémissement de douleur en tentant de se relever, la figure en sang.

Mais hélas la fille corbeau ne put point se releve rà temps pour prendre son envole et fuir. Non, les coups pleuvait déjà sur elle, la faisant lâcher des cris de souffrance et des larmes. Elle hurlait tenter de se protéger de la fureur du vétéran en vain. La douleur lui paraissait insoutenable, chaque coup de pied lui donnait la sensation de se faire écraser la jambe par un tracteur. La journaliste pleurait toute les larmes de son corps suppliant presque le vétérant d'arrêter, mais elle n'avait point la force de criait ses cris à l'aide, la douleur montant dans sa gorge ne pouvait que lui permettre d'huler, de crier et déversser toute sa douleur en des song proche de l'inhumain....

Dans un geste de désespoir, tentant en vain de calmer la colère du grand Bowser, la journaliste avait jetter son appreil photo au sol suite au tout 3ème coup de pied qu'elle reçue, mais héals celui-ci ne fut pas le dernier, il ne faisait partie seulement des tout premiere d'une longue série de coup qui c'était abatut sur elle. La douleur lui était insoutenable et finalement la dénommer Aya perdit totalement connaissance suite a un craquement d'os macabre venant de l'une de ses jambes. C'était la fin, penssait-elle.... la fin de elle qui fouynait son nez partout. Elle ne croyait pas y survivre. Car en effet les danmakus qu'elle avait connus était rien comparer à la force herculéen du vétéran qui finalement, s'enfuie en voyant la sécurité arriver.

Une fois cette dernière sur place, une voix paniquer retentit, et la dénommer Momiji accourut à côté de la journaliste inconsciente qui refusait d'ouvrir un oeil à ce moment là. Momiji, qui c'était absenté, était en réalité partie chercher la sécurité, mais en vain, il était trop tard le mal avait été comit. Alors qu'une partie de la sécurité se chargeait de fugitf Bowser et de la princesse Peach, une autre se chargeait de ramener celle, qui avait voulus pénétré trop près du coeur de l'information dans son jeu au plus vite, espérant qu'elle se remettrait au plus tôt de cet affreux accident.

De son côté... L'appareil photo disparut au coeur de la foule. Etait-il détruit ? Perdu ? Ramasser par un inconnu ? Personne ne le savait mais uen chose était sûre, la journaliste n'était plus en possession des photo qu'elle avait prise, ni de son matériel qui seme le trouble partout où elle passe.